Ces deux articles discutent comment la nourriture sert d’un emblème d’identité (étranger/indigène/un mélange) des populations immigrées et comment le terroir sert à négocier “la marge ethnique.”
Un extrait de la documentaire, Food inc., où on examine un ferme des poulets. Je vois les similarités, mais aussi les différences, entre les poulets aux États-Unis et la foie gras en France.
Can’t Stomach It: How Michael Pollan et al. Made Me Want to Eat Cheetos
Un article écrit par Julie Guthman, un professor à UC-Santa Cruz dont ses recherches portent sur les liens entre la nourriture, la race, l’obésité et l’agriculture durable.
http://www.jstor.org/stable/10.1525/GFC.2012.12.1.75
Lindeman, Scarlett. “Trash Eaters.”
Voilà un clip des fontaines dans le jardin de Versailles. Ce clip montre comment l’homme (ou le roi français) utilsait sa position supérieur pour transformer la nature en forme différent pour son plaisir. Cela est un thème dont je veux explorer dans mon projet, en comparaison avec ce qu’on a fait avec la nourriture comme forme de divertissement à la même époque. Le jardin français et la table française sont deux lieux où la nature et les intentions de l’homme ce rencontre.
Le clip: http://www.youtube.com/watch?v=C54KpmXeL00
Voici un lien à un site qui montre des exemples/images de la « sexualisation » de la nourriture. Souvent, il y a un lien entre la sexualité d’une femme et l’attrait de la nourriture.
Même si cet article est lié indirectement au sujet de ma rédaction, il souligne comment l’exclusion et l’hiérarchisation peuvent être considérées comme “viticultural racism.”
